Prayers & Music for the Dolphins & Whales of Japan
by Project ANIMA
La réinvention des rituels et la communication inter-espèces
pour soutenir les dauphins et les baleines du Japon
Prayers & Music for the Dolphins & Whales of Japan
by Project ANIMA
La réinvention des rituels et la communication inter-espèces
pour soutenir les dauphins et les baleines du Japon
Un pélerinage pour réparer les liens oubliés avec le Vivant,
et symbolisant une réconciliation entre les communautés du Japon
et les cétacés peuplant ses eaux locales.
Aidez nous à être la goutte d’eau qui fait déborder le vase
Le printemps approche; pour le Projet Anima, il est à la fois synonyme de lumière, de renaissance et de mort.
Le printemps japonais marque la conclusion de la saison de chasse à Taiji, l’annonce du nombre de cétacés tués et capturés et le début des préparatifs de la cérémonie en leur hommage:
Ne pas détourner le regard; diriger la lumière de notre conscience et de nos prières vers ce lieu d’écocide.
ANIMA fête sa troisième année et nous sommes heureux de vous annoncer
que nous avons maintenant un statut légal au Japon;
nous sommes officiellement une association citoyenne avec l’ambition de devenir,
dans un avenir proche, une fondation.
Notre équipe est encore modeste, certes, mais diablement motivée et dévouée.
Nous sommes aussi très reconnaissants d'être accompagnés et conseillés par des experts dans le domaine de la
préservation des océans et de la politique environnementale et du bien-être animal, tel que la Fondation Lightkeepers et
Abigail Alling de la Fondation Biosphère.
Notre nouveau site sera bientôt en ligne (disponible en anglais et en japonais pour le moment; la VF arrive prochainement, promis!) vous pourrez y lire les détails de nos actions ainsi que les valeurs et la philosophie qui les sous-tendent. Et y découvrir, surtout, notre nouveau projet pilote (un défi de taille, nous en avons bien conscience…) : la vision d'un vrai sanctuaire au Japon, un centre de secours et de réhabilitation pour les dauphins et les petites baleines.
Pour la vidéo de la cérémonie 2023, c’est ici ⬇️🌟
En 2022 et 2023, avec le soutien de généreux donateurs, de l'Oceanic Preservation Society et d'une incroyable communauté internationale qui a soutenu nos campagnes de financement participatif, nous avons pu organiser de magnifiques cérémonies dans la baie de Taiji en mémoire des cétacés victimes de la chasse.
Les "cérémonies des bateaux de prière” ont rassemblé artistes et musiciens locaux, ainsi que des bénévoles du Japon entier qui ont exprimé leur solidarité aux dauphins et aux baleines en tressant des centaines de petites embarcations végétales. Chaque bateau est une prière, symbolisant une vie perdue.
Cette communauté s'agrandit chaque année.
Reliant les familles japonaises, le tressage des bateaux crée un cadre créatif, à la fois ludique et profond,
pour inviter à un changement de regard et initier des conversations autour de l'empathie, les droits des animaux
et de la Nature, ainsi que la place de l’humain et sa responsabilité au sein de la grande toile du Vivant.
2024 est à nos yeux une année charnière pour
renouveler notre engagement.
Le défi étant d'imaginer de nouvelles approches, créatives et inclusives, pour sensibiliser et éduquer le public.
Le Japon est l'un des pays du monde qui compte le plus grand nombre de delphinariums.
Contrairement à de nombreux pays en Europe ou aux Etats Unis, la réalité de la vie en captivité, ainsi que son caractère inhumain pour les cétacés, est très limitée en raison d’une absence de média indépendants.
La ville de Taiji et sa pratique de chasse dirigée contre les dauphins sont également le point zéro pour le traffic des dauphins
en captivité, une activité tolérée, pour ne pas dire soutenue, par le gouvernement japonais.
Nous considérons les cérémonies comme un acte de persévérance poétique,
un moyen de mettre en lumière cette réalité cachée, tout en honorant la mémoire
des dauphins et des baleines.
Au début du projet, nous étions impatients de trouver des stratégies efficaces et provoquer le changement rapidement.
Nul besoin de vous dire que nous avons rapidement été confrontés à la réalité.
Pour reprendre les sages mots de Satish Kumar: armez vous de patience, détendez-vous,
ce n’est pas un sprint que vous courrez mais un marathon...
Partir en voyage sans assurance de l’issue ou de la destination,
c’est l’apprentissage de ce projet.
S’armer de persévérance, d’espérance, j’oserai même dire, de foi.
Avoir confiance qu'une cérémonie, la poésie d’un geste et d’une intention, peut initier une révolution, douce et durable.
Croire en l’impact d’ une seule petite goutte, aussi minuscule semble-t-elle;
savoir que son empreinte voyage dans l’invisible, en cercles de plus en plus vastes.
Un ami m'a récemment envoyé cette merveilleuse citation :
"Quitte à être une goutte d'eau, autant être celle qui fait déborder le vase."
Aidez-nous à être cette goutte, celle qui provoque le changement,
le bascul vers les “futurs souhaitables”,
Aidez-nous à créer l’élan nécessaire pour inscrire cette cérémonie dans la durée, pour qu’elle puisse exister chaque année, jusqu'à l’arrêt officiel de la pratique de la chasse à Taiji.
Cette saison, la cérémonie aura lieu le Jour de la Terre, le 22 avril,
exactement un mois après la Journée mondiale de l'eau, qui est le 22 mars.
Inspirés par le travail de notre amie et éco-activiste Azul Thomé et du Water Wide Web,
nous profiterons de cette fenêtre d’un mois pour créer un momentum et élargir le cercle de nos prières collectives
en prenant conscience de la manière dont elles peuvent être amplifiées par l'eau.
Nous sommes tous des êtres d'eau.
En honorant les cétacés, nous honorons aussi les eaux du monde
et le Vivant dans sa globalité.
Cette année, nous nous sentons très chanceux d’être accompagnés par un collectif d'artistes qui ne cessent de grandir,
tout aussi talentueux et inspirés les uns que les autres.
Les musiciens et sound artists Hiroki Okano et Akira Ikeda se joindront à nous une fois de plus à Taiji.
Leur ami Knob, joueur de didgeridoo un rien chaman dans l’âme, sera également de la partie, ainsi qu’une grande amie et artiste, Kou Kobayashi, qui réalise de magnifiques estampes bleu indigo- (oui, elle, la créatrice de ces univers chamaniques mettant en scène baleines et dauphins !)
La chanteuse/chamane Ema de YURAI vient également en renfort.
Elle officiera les préparatifs en organisant un rassemblement le 20 avril avec son collectif de danseuses
pour tresser avec nous les bateaux de prière.
Pour ceux et celles ne la connaissant pas, Ema a inauguré la première cérémonie en 2022; en plus d’avoir une voix magnifique, elle est également une tresseuse hors pair avec une connexion singulière au monde végétal.
Ses chants et sa présence invoquent le cœur animiste du Japon et les relations anciennes et sacrées de réciprocité
que le peuple japonais entretenait avec la mer.
Enfin, nous sommes absolument en joie que les enfants occupent une place
de plus en plus importante dans le projet.
L’implication de la nouvelle génération nous semble incontournable
pour la pérennité de Anima.
Pour la première fois, nous collaborons avec deux écoles, l'Empathy International School à Ubud, Bali,
et l'école Being sur l'île de Yakushima, au Japon.
Les élèves, les enseignants ainsi que les parents seront invités à tisser des bateaux de prière et à tenir une cérémonie en résonance avec le projet Anima près d'un plan d'eau, une rivière ou l’océan.
L’eau sera un vecteur de reliance entre nous qui viendra amplifier le champ de nos prières pour les océans et le Vivant.
Quelques mots de la fondatrice...
Bonjour!
Je m’appelle Leina.
Certain-es d’entre vous me connaissent à travers “The Journey” (Mère Ocean) réalisé par Jan Kounen et Anne Paris, un film documentaire relatant l’aventure atypique de “notre” grossesse océanique en présence des dauphins et des baleines en liberté:
https://youtu.be/p3Ax4tsYjhM
En début d'année, j’ai lancé le Projet “Anima” afin de sensibiliser le public japonais à la cause des dauphins et des baleines victimes de l’industrie de la chasse et de la captivité.
Bien que ces pratiques soient décriées dans le reste du monde, cette réalité reste largement méconnue des Japonais car étouffée par le gouvernement. À ce jour, très peu d’habitants connaissent l’envers du décor des delphinariums (voir le documentaire The Cove : https://youtu.be/iMy0ely7poo)
En l’absence de média indépendant au Japon, la majorité de la population n’est pas au fait de cette pratique qui a débuté dans les années 70, généré par une demande croissante de l’industrie de la captivité. Le modele économique de ces chasses repose sur la capture des plus beaux spécimens, les autres individus étant presque systématiquement abattus dans un souci de contrôle des population qui sont considérés comme étant une forme de compétition à l’industrie de la pêche par le gouvernement japonais.
En tant que Japonaise ayant grandi à Paris et à Hawaii, j’ai longtemps observé la situation de loin, habitée par le désir profond de venir en soutien à ces populations de cétacés décimées année après année à cause d’un gouvernement qui, sous le prétexte de la tradition, privilégie le profit.
J’ai eu le privilège énorme de grandir en côtoyant les dauphins et les baleines en liberté. Ils m’ont sauvé la vie à plusieurs reprises, lors de plusieurs naufrages émotionnels, en me montrant, toujours, le chemin vers la surface, vers la lumière.
Sans eux, je ne serais pas là aujourd'hui.
Et après tout ce que j’ai reçu de leur part, j’éprouve le besoin intense de donner en retour.
Genèse du Projet
Anima, racine du mot “Animal”, signifie Âme en latin.
J’ai choisi ce nom en référence à la vision animiste du monde qui imprègne la conscience collective du Japon depuis ses origines.
Anima, c’est aussi un retour vers ma fascination d’enfant
pour la communication inter-espèces par la musique.
Dans son livre Le Cinquième Rêve, Patrice van Eersel, avec ses talents de conteur, m’avait transportée dans des récits de “jam sessions” entre l’artiste musicien Jim Nollman et les orques sauvages, un véritable dialogue du Troisième Type où les miaulements d’une guitare électrique venaient faire écho aux vocalisations d’orques curieuses.
L’exploration de la musique comme langage universel pour entrer en lien avec d’autres espèces était tout simplement jubilatoire.
Il y a deux ans, enceinte de notre second enfant, j’ai eu le coup de foudre pour YURAI, un groupe de musiciens japonais. De cette rencontre a germé une idée saugrenue, improbable : m’inspirer des travaux de Jim Nollman pour lancer, en collaboration avec des artistes japonais, un projet de communication inter-espèces aussi bien avec les cétacés libres qu'avec ceux en captivité au Japon.
La musique se fait ici vecteur de la rencontre. Elle permet de communier d'âme à âme
et témoigne de la curiosité, de la sensibilité, de l’intelligence de ces êtres.
LA MUSIQUE
La Musique comme mode d’expression universelle permet de transcender les différences de langues ou de culture et même d’espèces.
Elle est un puissant véhicule pour les émotions et les intentions.
Les travaux de chercheurs et d’artistes visionnaires et avant-gardistes ont permis de révéler le pouvoir de la musique comme passerelle de communication particulièrement adaptée avec les cétacés.
(Voir Music as a bridge et “Nature of Music: Interspecies Music with Jim Nollman”)
En 1970, le monde découvre avec émerveillement l'intelligence et la culture des baleines avec la sortie de Songs of the Humpback Whale. Produite par le bio-acousticien Roger Payne, cette série d’enregistrements révéla pour la première fois au monde les systèmes complexes de vocalisations des baleines à bosse.Elle devint l'album de musique environnementale le plus vendu de l’histoire et initia le mouvement international “Sauvez les baleines”. S’ensuivit l’adoption d’un moratoire de dix ans sur la chasse commerciale lors de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement humain de 1972, qui sera respecté par tous les pays sauf trois, dont le Japon.
Inspiré des travaux de Roger Payne et de Jim Nollman, Anima est un projet de sensibilisation en collaboration avec des artistes japonais.
Notre espoir et notre intention sont d’entrer en contact par la musique avec les populations de cétacés vivant dans les eaux côtières du Japon, ainsi qu’avec celles vivant en captivité.
Les vidéos et les enregistrements que nous rassemblerons au fil des ans seront montés et partagés avec le public afin de montrer que ces animaux sont intelligents et des êtres conscients. Nous souhaitons répandre la vérité sur ce que vivent les dauphins et des baleines en captivité et inviter les Japonais à approfondir leur perception de ces populations sous-marines.
Bien que nous n’ayons pas la possibilité de les libérer dans l’immédiat, nous espérons à travers la musique leur transmettre notre sentiment de solidarité et leur faire savoir qu'ils sont vus dans l’entièreté de leur identité : en tant qu'êtres libres appartenant au vaste océan.
Il nous tient à coeur de leur envoyer, surtout, beaucoup, beaucoup d’Amour et de leur dire, même de manière humaine et imparfaite, “Je te vois. Et tu n’es pas oublié”.
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Nous souhaitons inviter les Japonais à ouvrir les yeux sur ce que vivent ces êtres en captivité – leur provenance, leur histoire, leur expérience – et les inviter ainsi à les considérer comme des individus libres appartenant à l'Océan.
En ce sens, nous souhaitons que la Musique puisse devenir un acte symbolique pour leur redonner une certaine dignité.
Les racines animistes du Japon
Le peuple japonais a cultivé depuis la nuit des temps une relation révérencielle et sacrée avec la Nature, y compris avec l'Océan et ses habitants. Avec le temps, cette relation a été diluée et déformée, notamment avec l’avènement de l'ère industrielle suivi du capitalisme d'après-guerre et la course toujours plus rapide au profit.
Les peuples autochtones du Japon embrassaient une perception animiste du monde dans laquelle la Nature, peuplée d’une multitude d’esprits, était célébrée et vénérée comme dotée d’une Présence et d’une Âme.
L’intention du projet Anima est donc également de raviver et de restaurer ce lien ancestral avec l’esprit de la Nature – Gaïa – qui fait partie intégrante de la genèse du peuple japonais.
La cérémonie aura lieu le Jour de la Terre, le 22 avril,
en présence des musiciens Hiroki Okano, Akira Ikeda, Knob,
l'artiste Kou Kobayashi et le soutien de la chanteuse/tresseuse Ema
Comme chaque année, nous amènerons à Taiji des centaines de petits navires en matière végétale tissées par des volontaires du Japon entier.
Ces embarcations symboliseront le nombre de vies qui se sont éteintes durant cette saison; nous les déposerons dans les eaux de la baie avec nos chants et nos prières.
Le clip officiel de la cérémonie sera diffusé au Japon pour soutenir nos actions de sensibilisation et la recherche de sponsors et partenaires qui nous aideront à mettre en œuvre les premières étapes de la réalisation du sanctuaire pour les cétacés.
Vous pouvez nous soutenir via la page de financement participatif Indigogo.
Merci infiniment de votre générosité 🙏
Participer à la cérémonie, de chez vous
Cette année, nous souhaitons agrandir le cercle des prières au delà du Japon
en vous invitant à tresser des bateaux de prières et
organiser votre propre rituel, ou que vous soyez sur la planète.
Rejoignez nous le 22 Avril, en hommage à la Terre et aux cétacés.
Seul(e) ou en collectif avec votre famille, vos amis ou même votre école,
vous pouvez confier vos bateaux et vos prières à l'eau, à une rivière, un lac ou
la mer près de chez vous.
Ecrivez nous à satoleina@gmail.com si vous souhaitez participer.
Envoyez nous une photo ou une vidéo de votre rituel si l'appel est présent, nous serions ravis de l'intégrer dans la vidéo de la cérémonie.
Pour des indications sur le tressage des bateaux, vous pouvez vous inspirer de la vidéo de Ema (qui est tout sauf une vidéo explicative, vous verrez ;-)
Invoquer la Voie/x des Ancêtres
Depuis le lancement de cette campagne, ma vision s’approfondit en s’ouvrant à des plans auxquels je n’avais pas accès auparavant.
Taiji est une ville si étrange, les dimensions s’y superposent, la terre et l’océan vibrent une paix et une qualité sacré qui en sont d’autant plus troublantes qu’elles dénotent tant de ce qui s’y jouent à la surface de la réalité. Le sang répandu, la destruction aveugle et systématique de la biodiversité pour le profit.
J’ose enfin considérer qu’elle était une terre sacrée et que la mémoire des “Ocean Tribes”y est encore bien vivante, ces peuples premiers du Japon animiste dont l’existence était régie par la relation sacrée à la Mer et aux peuples des cétacés. Des hommes pour qui chasser une baleine ou un dauphin était un acte de prière.
Baleines s’offrant au sacrifice si la demande était juste et s’inscrivait dans la continuité et l’harmonie du cycle des réincarnations, en ces temps magiques où les êtres humains renaissaient en baleines et en dauphins, et où ces derniers renaissaient en humains.
Le projet Anima m’invite à m’aventurer au delà de la dualité pour tenter de comprendre ce que peut signifier, vraiment, le respect des traditions, inlassable argument que le gouvernement japonais oppose avec obstination aux critiques internationales au sujet de la chasse baleinière.
En renouant petit à petit avec mes racines, en quête de mes origines qui sont aussi celles du Japon, je me pose la question suivante; le respect des traditions n’est il pas simplement
le respect de notre appartenance sacrée au Vivant?
〰A quoi servira l'argent? 〰
Nous avons besoin de 6200 euros pour réaliser cette nouvelle Cérémonie. (Environ 100,000 Yen)
Cela aidera à couvrir :
- Les frais de déplacements et d'hébergements des artistes
-Les frais de voyage et d'hébergement pour l'équipe du projet Anima (caméraman, éditeur, coordinateurs du projet)
-La rémunération du caméraman/monteur
-Les contreparties
- Une rémunération (symbolique!) pour la coordinatrice du projet
Nous sommes très reconnaissants à la Fondation Lightkeepers qui nous fait un don de 500 euros pour soutenir la cérémonie. Il nous manque donc 5700 euros pour atteindre notre but.
LES SUPERS CONTREPARTIES
Le projet Anima, c'est aussi se connecter à l'art en tant que vecteur de changement
et de sensibilisation.
Nous avons la chance immense d'avoir le soutien d' artistes incroyables du monde entier qui nous soutiennent -Peintres, Illustrateurs, Musiciens, Photographes.
Cette année, dû au timing serré, nous avons décidé de faire simple et efficace et de reduire le nombre de contreparties.
Découvrez les ci-dessous, elles sont toujours aussi magnifiques!
Estampe de Kou Kobayashi (Contrepartie "Animist Memories")
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1. Project Ambassador Votre Nom dans le générique de fin de la Vidéo de la Cérémonie -
1500 Yen (Env.10 Euros)
2. Whale & Dolphin Love Votre Nom dans le générique de fin
+ 2 autocollants océaniques de l'artiste Hawaiienne Danielle Burnside -4000 yen (Env.25 Euros)
3. "Adopte un Bateau" Participez à la cérémonie de Taiji durant laquelle nous ferons flotter les bateaux de prières tissés par des volontaires du Japon entier. Un bateau symbolise une vie perdue. "Adoptez" une embarcation en hommage à l'âme d'un cétacé
+ Votre Nom dans le générique de fin de la Vidéo de la Cérémonie -
2500 Yen (Env.15 Euros)
4. Animist memories Votre Nom dans le générique de fin
+ trois impressions des estampes de l'artiste japonaise Kou Kobayashi
6500 Yen (App. 40 Euros)
5.Abyss Gravure, aquatinte, Izumi
2023, 20cm x 8cmCette œuvre a été réalisée en utilisant les techniques de la gravure et de l'aquatinte sur cuivre.
"Avec cette pièce, j'ai souhaité représenter la profondeur de l'œil superposée à celles du cœur.
Je serais ravie si cette œuvre pouvait guider le spectateur vers les profondeurs de son cœur lorsqu'il la tient entre ses mains. a-ko"
20,000 Yen (App 120 euros)
Famille présentant leur nouveau-né à la baleine
Estampe de l'artiste japonaise Kou Kobayashi
Contrepartie "Animist Memories" (Série de trois impressions)
Bateau de prières pour la cérémonie de Taiji
Contrepartie "Adopte un Bateau"
Autocollant de l'artiste Danielle Burnside, de Hawaii
Contrepartie "Whale and Dolphin Love"
Contrepartie "Abyss" Gravure Aquatinte sur Cuivre de l'artiste A-ko
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Toute notre gratitude pour votre soutien
Voici d’autres moyens de nous aider :
Rejoignez la communauté du Projet Anima : contribuez à diffuser le message de notre campagne en la partageant avec vos amis et votre réseau.
Nous vendons également de magnifiques palmes d’apnée décorées par l’artiste Naomi Gittoes, en collaboration avec la marque d’équipement de plongée australienne DiveR.
Écrivez-nous pour plus d’informations.
10% des ventes seront reversées à notre campagne de financement.〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰〰
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